Mieux vivre ensemble dans les villes : l'observatoire international des maires sur le vivre ensemble
Dans le cadre de la JIPEP (Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix), le COSE organise une conférence en partenariat avec la mairie de Saint-Denis et l'Université de La Réunion, le 15 mai à 18h à la salle polyvalente de la mairie.
Nous prenons conscience aujourd'hui de l'immense dynamique dans laquelle s'inscrivent les villes - petites ou grandes mais de plus en plus cosmopolites - pour œuvrer ensemble sur la question du vivre-ensemble en paix. Très attaché aux valeurs de paix et de cohésion sociale, le COSE aura la joie d'accueillir deux universitaires spécialistes de cette question :
- Abhijit Karkun, enseignant-chercheur à l'Université Jawaharlal Nehru en Inde. Spécialiste de l'interculturalisme, M. Karkun portera son propos sur l'importance des valeurs dans l'éducation. Son engagement profond a permis d'éclairer de nombreux aspects cruciaux liés à la cohabitation harmonieuse des cultures au sein de nos sociétés contemporaines ;
- Bob White, de l'Université de Montréal au Québec, chercheur et spécialiste sur ce thème. Plus spécifiquement, ses propos porteront sur l'observatoire international des maires sur le vivre-ensemble. Son expertise et sa passion pour les enjeux de cohésion sociale ont permis de faire avancer de manière significative la compréhension des dynamiques urbaines liées à la paix et à l'harmonie.
Cette conférence s'annonce riche en enseignements et en perspectives, offrant une occasion unique de découvrir les dernières avancées et réflexions dans le domaine du vivre-ensemble en paix.
Nous vous invitons à participer à cet événement et à contribuer, à votre manière, à la construction d'un monde où le respect, la diversité et la solidarité sont les fondements de notre société.
Au plaisir de vous retrouver nombreuses et nombreux le 15 mai !
Veuillez trouver le programme complet du colloque international en suivant ce lien
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Surmonter les différences pour construire l’unité
Non pas unité dans la diversité
Non pas voir ce qui nous rassemble dans nos différences
Mais voir d’abord nos différences, les prendre à bras le corps, les reconnaître, les poser là, devant nous, comme dans un cercle, les regarder en face, sans peur et sans reproche, sans honte :
Oui, nous sommes différents et dans ces différences nous sommes chacun qui nous sommes, unique .
Celà, l’accueillir, l’accepter , le gratifier, le glorifier qui que nous soyons.
Remercier
Puis l’offrir aux autres, à tous
Chacun, respectivement,
en miroir les uns des autres
Sans sarcasme, sans jugement
Aucun jugement
Sans rancune
Sans haine
Sans ce qu’a fait le passé
Sans ce qui s’est passé
Ou sans l’idée qu’on s’en fait
Car tout n’est qu’en l’idée
Tout naît qu’en l’idée
La représentation
L’interprétation
Aï ! mes Aïeux
Aï !
Mettre cela de côté
Tout cela de côté
Pour une fois,pour un instant, pour plus longtemps
Oui plus longtemps
Plus longtemps enfin,
plus longtemps encore et encore
Pour toujours ?
Et là,
Ensemble, s’accueillir s’accepter tel quel
Pour une fois s’aimer
Dire autrement
Prendre une autre voie
Faire entendre une autre voix
Alors verrons nous l’Unité
L’Un
Lui
L’Amour
Celui qui nous unit
Celui qui nous rassemble
Celui qui vient
Alors naîtra le monde de demain
Celui dont nous rêvons tous
Celui dont nous avons tant besoin
Celui de nos enfants, de nos petits enfants et arrière petits enfants .... de nos générations
Celui du futur
Celui de l'après
Mais aussi celui de l’instant
D’un instant
de tous les instants
Ici et maintenant
Dans l’Instant Présent
Entre-Deux le 4 octobre 2022
Jardin de Jacqueline, celui de la diversité et de l'unité, de l'unicité car le divers est unique.
Jacqueline Andoche
Anthropologue, Docteur en anthropologie sociale et culturelle
Auteure et conférencière
14 rue Payet Entre-Deux 97414
tel : 0692340657
mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
blog : https://le-jardin-de-jacquelineentre2.over-blog.com
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Projection du film NOUS TOUS, à St Paul, à l'occasion de la célébration de la journée Internationale pour le vivre ensemble en paix.
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Le 4 février : journée internationale de la fraternité humaine.
Aujourd’hui, nous avons atteint plus de 500 signatures !
Nous en sommes très heureux et fiers !
Parmi les signataires, beaucoup nous ont laissé de très beaux messages. Faute de place, nous ne citons que deux d’entre eux qui s’inscrivent pleinement dans la démarche du COSE :
« Tout comme Martin Luther King: « je fais le rêve qu’un jour les hommes se lèveront et comprendront enfin qu’ils sont faits pour vivre ensemble comme des frères. » La Réunion, où le brassage d’hommes et de femmes d’origines diverses vivent en harmonie, doit être un exemple pour le monde entier » Sabera Moullan
« La Réunion a tous les atouts historiques pour devenir l'île de paix et de fraternité. Avec son inscription au patrimoine de l'Humanité pour ses Pitons, Cirques et Remparts qui se sont faits sans les humains, son Vivre Ensemble qui est le fruit d'un processus parfois sanglant de plusieurs siècles qui a abouti à un collectif de femmes et d'hommes de toutes origines, de toutes couleurs et de toutes croyances, est un message d'espoir qui peut et qui doit être entendu partout dans le monde. » Gilbert La Porte
A l’attention de tous les lecteurs de notre site et aux signataires du manifeste du COSE nous voulons rappeler le sens de notre démarche. (cf notre site : cose.re , à la page « qui sommes nous )» :
Être Membre du COSE c'est prendre part à une dynamique de paix, c'est donner de l'espoir du bonheur par nos actions, c'est enfin rendre hommage à tous ceux qui nous ont précédés et transmettre à nos enfants une île heureuse.
Claudette Vabois
Présidente du COSE
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A lire et à méditer
Si vous ne parvenez pas à visualiser correctement le message ci-dessous, cliquez-ici
Une leçon de survie
Chers amis,
L’île Tromelin est un îlot de sable perdu dans l’océan indien.
Avant qu’elle ne prenne son nom actuel (dans des circonstances que vous connaissez peut-être, et que je vais vous raconter), on l’appelait simplement « l’île de sable ».
Des vents violents, les alizés du sud, d’une vitesse de 15 à 35 km/h, soufflent presque en permanence sur l’île. Entre janvier et avril, les cyclones du nord-ouest de l’océan indien s’abattent sur elle.
On ne trouve sur sa minuscule surface d’un km2 qu’un seul et unique arbuste, le veloutier. Ses racines très profondes lui permettent de repousser après les multiples arrachages provoqués par les tempêtes régulières.
Bref, c’est une île déserte, désolée, peu propice à la vie.
C’est pourtant sur ce confetti sablonneux balayé par les bourrasques qu’ont vécu pendant quinze ans des êtres humains.
Réduits en esclavage puis naufragés
Jusqu’en 1761, aucun homme n’avait mis le pied sur « l’île de sable ». De fait, les navigateurs qui jusqu’alors l’avaient reconnue s’étaient contentés d’en faire le tour, voyant bien que cette couche de sable ne pouvait recéler aucune ressource digne d’intérêt.
Du reste, l’île est entourée de récifs coralliens et subit en permanence l’assaut de vagues déferlantes, qui rendent tout débarquement périlleux (aujourd’hui encore, c’est par avion, au moyen d’une piste tracée dans le sable, qu’on arrive sur l’île Tromelin).
Ils n’avaient pas cherché à débarquer sur l’île, bien au contraire : ils avaient voulu l’éviter.
Les premiers hommes à fouler le sol de cette île de sable furent des naufragés.
Mais la carte de navigation dont ils disposaient donnait une position incorrecte de l’île de sable. Une nuit, leur navire, qui venait de Madagascar, s’échoua sur le récif corallien.
Les naufragés auraient dû n’être « que » les 122 marins français qui composaient l’équipage du navire, armé par la Compagnie française des Indes orientales.
Mais le capitaine de ce navire qui avait quitté une dizaine de jours plus tôt Madagascar avait enfreint un ordre formel de ses supérieurs : il avait embarqué à bord 160 esclavesmalgaches.
Au cours du naufrage, près de la moitié de ces esclaves périrent. Ils avaient été enfermés dans la cale, dont les accès avaient été cloutés, par crainte d’une révolte.
Les survivants gagnèrent, avec l’équipage, l’île de sable.
En récupérant des morceaux de l’épave, les marins construisirent un radeau, sur lequel ils embarquèrent deux mois après le naufrage, en promettant aux quelque 80 Malgaches de dépêcher un navire afin de les sauver.
Les marins parvinrent à regagner Madagascar, mais aucun navire ne fut envoyé pour secourir les esclaves de contrebande.
C’est ainsi que 80 êtres humains furent livrés à eux-mêmes sur un îlot de sable d’un km2, désertique et venteux, à plusieurs centaines de kilomètres de toute terre habitée.
Survivre… et rester humain
Quatre missions archéologiques furent menées sur l’île Tromelin au cours des dix dernières années.
Les vestiges découverts par les archéologues nous enseignent que loin de se laisser abattre, les rescapés ont recréé une société organisée, appris à tirer parti de la plus misérable ressource dont ils disposaient, et fait preuve d’un sens de la survie et de l’adaptation stupéfiant.
Tout d’abord, il faut immédiatement répondre à la question que l’on se pose naturellement face à un tel tableau : aucun des squelettes retrouvés sur le site ne porte de trace d’anthropophagie.
Les découvertes des archéologues ont dévoilé, qu’au contraire, les rescapés ont autant lutté pour survivre que pour conserver leur humanité.
Ils avaient créé un véritable petit village, contraire à toutes les traditions malgaches : chaque bâtiment avait des murs de 1 à 1,5 m d’épaisseur, l’espace intérieur était très réduit. Leur orientation non plus n’avait rien d’habituel…
Ces murs très épais, résistant aux bourrasques, étaient la solution la mieux adaptée à ce milieu extrêmement venteux. L’orientation des ouvertures était choisie de façon à être protégée du vent.
Les archéologues ont vite compris que ce village n’était pas « né d’un coup », mais s’était formé sur les vestiges d’édifices précédemment détruits par des tempêtes.
Combien de tempêtes, de destructions d’abris, ces hommes et ces femmes ont-ils connus ? Ils n’ont pourtant pas baissé les bras, et sont parvenus à tenir tête à ces conditions climatiques extrêmes.
Quelle leçon !
Mais comment avaient-ils construit ces murs, sans pierre ? Grâce à un mélange de grès et de corail, dont la solidité a elle aussi été testée au fil d’échecs répétés.
Le reste est à l’avenant.
La nourriture était essentiellement composée de sternes fuligineuses – une colonie d’oiseaux qui nichait sur l’île – et de tortues vertes. Cette ressource ne fut pas que nutritionnelle.
Avec les plumes des oiseaux, les naufragés tressaient des vêtements, comme des pagnes. Des carapaces de tortue, ils faisaient des ustensiles de cuisine.
L’eau potable venait d’un puits creusé au centre de l’île. Le feu était rallumé grâce à des silex, et probablement alimenté par du bois mort de veloutier, l’arbuste dont je vous parlais au début de ce message.
Des objets avaient pu être sauvés du naufrage. Certains furent utilisés tels quels, comme des hameçons ou des pointes de harpon ; d’autres, détournés de leur usage originel. Des charnières de porte furent transformées en hache ; des gonds, en marteaux.
Surtout, chaque objet était systématiquement recyclé. Un atelier pour fondre et créer de nouveaux objets à partir du métal disponible était en activité. Une véritable économie du réemploi, où l’ingéniosité des naufragés se révèle, s’était mise en place sur l’île. Les archéologues ont même retrouvé des bijoux (bracelets et chaînettes) !
Quinze ans après le naufrage, une corvette française fut enfin expédiée pour secourir les éventuels survivants de ce drame. L’équipage s’attendait à ne plus trouver âme-qui-vive… Mais ils trouvèrent huit personnes.
Il y avait sept femmes, et quelqu’un qui n’avait jamais fait naufrage… mais était né sur l’île. Un nourrisson de sept mois. Deux des sept femmes étaient sa mère et sa grand-mère.
Le capitaine de corvette recueillit à son bord les huit survivants, les déclara libres puis les fit baptiser. Il s’appelait Jacques Marie de Tromelin, et donna son nom à l’île.
Une leçon de survie, et de vie
La façon dont ces hommes et ces femmes ont survécu, prisonniers du minuscule bout de terre sur lequel le destin les avait jetés, oubliés de tous, force le respect et l’admiration.
Elle est surtout une leçon éclatante de génie humain. L’extrême rareté des ressources, les conditions inhospitalières auxquelles ils durent faire face, n’ont pas empêché ces hommes et ces femmes de réécrire sur cette île une histoire de l’humanité.
Il est particulièrement émouvant d’être en présence des traces de leur vie sociale, de leur sens de l’art, qui ont persisté contre vents et marées.
Je vous parlais de « leçon de vie » au début de cette lettre, et cela n’a rien de présomptueux de ma part.
Moi qui vous écris, vous qui me lisez, ne connaîtrons jamais (j’espère !) de situation aussi critique.
Pourtant, ce que les naufragés de Tromelin ont appris et appliqué par nécessité, nous pouvons le mettre en œuvre quotidiennement : l’ingéniosité, le recyclage, tirer le meilleur parti de nos ressources, ne renoncer ni à l'art, ni à la coopération avec autrui, sont des réflexes et des démarches qui, on le sait, nous aident à vivre mieux, et plus longtemps.
Portez-vous bien,
Rodolphe
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Une réunion conviviale de quelques membres du Bureau .
Sur la photo : David RAKOTONIZAO secrétaire adjoint, la Présidente, secrétaire-membre d'honneur adjoint, un invité et Zahir Liang-ko-yao Référent du dossier la boîte à talents.
Sur la 2ème photo M Inayat Tahora conseiller du C.O.S.E.
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Le vivre ensemble, qu'est-ce que c'est ?
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REJOIGNEZ LE COSE POUR PARTICIPER À LA CREATION DE "La Réunion, île de Paix"
Créé en 2007, le COSE ou Comité d'Organisation Servir Ensemble n’a cessé de militer pour servir les plus démunis en particulier à Madagascar par l’intermédiaire de l’ASA « Aide aux Sans Abris » que le COSE a soutenu par plusieurs actions. . Depuis 2019, le COSE s’est fixé pour objectif de « Construire La Réunion Île de Paix ». Cette association, multiplie les initiatives en ce sens( 3 conférences sur le thème du Vivre Ensemble , un concours de danses pour les seniors puis sur le même thème ; concours pour la constitution d’un album à partir des marchés, enfin préparation d’un repas autour d’un plat représentant toutes les ethnies présentes à la Réunion.) D’autres actions prévues se dérouler dans le temps notamment dans le domaine culturel ont été décalées en raison de restrictions sanitaires dues au COVID.
C’est dans cette optique que le COSE organise un concours littéraire sur le thème « La Réunion île du vivre ensemble pour la paix » qui s’adresse à tous. « Tous les genres littéraires, allant de la poésie au slam, en passant par le haiku ou la chanson ou la bande dessinée sont les bienvenus. Collectives ou individuelles . Comme l’indique le règlement du concours, les œuvres doivent s’inspirer de la légende du Voile de la mariée Toutes les explications figurent sur le site internet cose.re ou sur la page Facebook de l’association.
Le COSE collabore avec le Centre de lecture et d’animation culturelle du Brûlé dont la Directrice Mme Dominique DAMBREVILLE est également Présidente de la commission littéraire. Les œuvres doivent être adressées au Centre avant le 15 juin prochain. Objectif : « Encourager la créativité dans l’écriture d’œuvres littéraires écrites ou chantées pour promouvoir la paix à La Réunion »
Comme cité plus haut, le COSE n’en est pas à son premier coup d’essai, dans sa démarche en faveur de ce noble objectif. Les conférences ont été confiées à des conférenciers de grande valeur : Plaidoyer pour la paix par Mr Thierry MALBERT Docteur en anthropologie, maître de conférence,- La réconciliation ; par Mme Jacqueline ANDOCHE Docteur en anthropologie Maitre de conférence, »Le vivre ensemble Mythe légende ou réalité par Messieurs Omar BANIAN écrivain conférencier et et Farouk ISSOP Docteur en poésie persane –conférencier ;
Le 14 mai dernier, en ouverture de la Journée internationale du Vivre ensemble en paix ou JIVEP, le COSE a organisé un concert de qualité dans le Grand salon de l’Hôtel de ville de Saint Denis. . L’Orchestre Polyphonia dirigée par Pierre Varo et le groupe de chants gospel Ananias ont animé cette belle soirée chargée d’émotions et de joie.
Le 16 mai, le COSE était associée à la Commune de Saint-Paul pour la projection du film « Nous tous ». A cette occasion, nous avons , souligné l’importance de la participation de tous à l’établissement d’un vrai vivre ensemble à la Réunion afin que la demande auprès de l'ONU portée par le COSE, pour obtenir le label "la Réunion île de paix et de fraternité" , ne repose pas sur une coquille vide de sens. Pour cela nous créons un collectif auquel nous appellerons toutes et tous à participer . Nous y travaillons pour mieux réussir !
A bientôt Claudette VABOIS Présidente du COSE
Renseignements sur www.cose.re ou sur la page Facebook Comité d'Organisation Servir EnsembleZone contenant les pièces jointes.
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Réunion-partage au centre de Lecture et d'animation culturelle du Brûlé le 16 mars 2021
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Allocution de Mme Vabois, présidente du COSE en ouverture de la projection du film "Nous Tous" le 1er octobre 2022
Mesdames , Messieurs Bonsoir,
Je suis particulièrement honorée et heureuse d’être ce soir le porte parole des Membres du COSE pour vous remercier de votre présence à nos côtés afin de célébrer la paix et la fraternité.
Je voudrais en tout premier lieu remercier le CINEPALMES qui a mis gracieusement cette salle à notre disposition et pour l’agréable accueil de son personnel .Mes remerciements vont également à nos généreux bienfaiteurs : Mr Jean-Alain BEGUE de l’entreprise EFS , la Société MAUVILAC , la Bijouterie PALA , l’Hôtel le Nautile, l’entreprise Réunion Music Recording , et Mr Mamode CADJEE. L’Hôtel de ville de St Denis qui a accueilli notre dernière conférence et notre dernier concert.
Nous voulons saluer tout particulièrement le conseil de la culture, de l'Education et de l'Environnement (CCEE) dont le Président Mr Roger RAMCHETTY et Mr Saravanan RANGARADJOU chargé de Mission ainsi que leurs collaborateurs qui ont guidé notre démarche.
Comment ne pas citer le ROTARY CLUB Alizés qui nous a fait l’amitié de nous recevoir en présence d’autres Clubs et de Mme La Gouverneur des Inner Wheel. Merci à tous les Lions qui nous ont suivi et appuyés notamment par leurs interventions sur FaceBook
Je rends un hommage particulier à nos conférenciers Thierry MALBERT, Jacqueline ANDOCHE, Omar BANIAN et Farouk ISSOP . Je n’oublie pas les conseils de Patrick HERVE et le précieux relationnel créé par Clément AH Line.
Je voudrais souligner le sérieux soutien informatique de David RAKOTONIZAO, l’important travail de terrain de Inayat TAHORA, l’aide précieuse de Fatima KATHRADA , celle de Dominique DAMBREVILLE qui nous a reçus au centre du Brûlé et Directrice de notre concours Littéraire , de Zahir Liang-Kao -Yao concepteur de la boîte à talent et Domique LECLERE Secrétaire et Membre d’honneur et du COSE Merci à chacun d’entre eux pour toutes les heures qui nous ont été consacrées, dans l’ombre , mais avec quelle efficacité et quel talent!
Les Membres de notre association croient en la paix. Notre merveilleux site, est notre principal vecteur de communication. Ici je rends hommage à Mr Zedde de la Société SWR Site Web Réunion qui, sur nos indications a su mettre en lumière nos actions et nos idées pour que nos valeurs soient reconnues par tous et imprègnent les consciences au sein de notre population.
C’est par des concours, des conférences , retransmis également sur les réseaux sociaux ( FaceBook notamment), que nous travaillons à éveiller les consciences, à convaincre, du plus jeune au plus âgé.
Il est aisé de s’y rendre à partir de GOOGLE, sur vos téléphones portables en cliquant sur notre site cose.re pour :
- signer le Manifeste,
- le Faire signer par vos proches et vos relations
- prendre part à nos rubriques : ensemb’pour causer
- alimenter notre « boîte à idées »,
- participer à nos concours,
- lire nos conférences.
-Répondre à l’appel à l’action en apportant votre petite goutte d’eau tel le colibri pour aider à éteindre le feu de la violence.
Très prochainement nous organiserons un concours doté de très beaux lots et d’un diplôme d’honneur d’Ambassadeur du COSE . Ces reconnaissances seront attribuées par un jury aux plus méritants de nos lecteurs signataires de notre manifeste.
Nos rubriques sont ouvertes à votre participation active.
Il appartient à tous et à chacun d‘agir pour que notre petite communauté de 800 000 habitants crée un microcosme de paix à partir des valeurs du vivre ensemble qui sont propres à la Société réunionnaise. Elles nourrissent déjà cette paix dont nous bénéficions sans en prendre vraiment conscience. Cette paix et cette fraternité demandent à être pérennisées, consolidées affirmées.
Ainsi nous pourrons, avec l’appui de la population, que nous espérons la plus nombreuse possible, demander aux instances de l’ONU /l’UNESCO, que soit attribué à notre terre le label : « La Réunion île de Paix et de Fraternité »
En préambule de notre soirée, nous avons le plaisir de vous présenter le COSE en images et en musique à travers un survol de nos actions. Nous le terminons sur l’Hymne du COSE que nous vous remercions d’honorer en vous levant.
Puis nous vous offrons de suivre ce long métrage de grande qualité « NOUS TOUS » réalisé Mr Pierre PIRARD, sur les instructions de L’association AISA dont Mr Idriss BANIAN est le Représentant à la Réunion. .
Nous vous souhaitons de passer une excellente soirée
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Les derniers mots de Steve Jobs, milliardaire, mort à 56 ans
"J'ai atteint le summum du succès dans le monde des affaires. Dans les yeux des autres, ma vie est une réussite.
Cependant, mis à part le travail, j'ai eu peu de joie. En fin de compte, la richesse n'est qu'un fait auquel je me suis habitué.
En ce moment, allongé sur mon lit d’hôpital, et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que toute la reconnaissance et la richesse dans laquelle j’ai pris tant de fierté, a pâli et est devenue insignifiante face à la mort imminente.
Vous pouvez employer quelqu'un pour conduire votre voiture ou gagner de l'argent pour vous, mais c’est impossible d’engager quelqu'un pour supporter la maladie et mourir pour vous.
Les choses matérielles perdues peuvent être retrouvées. Mais il y a une chose qui ne peut jamais être trouvée quand elle est perdue : la Vie.
Quelle que soit l'étape de la vie à laquelle nous sommes actuellement, avec le temps, nous serons confrontés au jour où le rideau se ferme.
Aimez votre famille, votre conjoint, vos enfants et vos amis... Traitez-les bien. Chérissez-les.
Au fur et à mesure que nous vieillissons, et devenons plus sages, nous réalisons lentement que porter une montre à 300 $ ou 30 $, les deux donnent la même heure...
Que nous avons un portefeuille ou un sac à main de 300 $ ou de 30 $, le montant à l’intérieur est le même.
Que nous conduisons une voiture de 150 000 $ ou une voiture de 30 000 $, la route et la distance sont les mêmes, et nous arrivons à la même destination.
Que nous buvons une bouteille de vin à 1000$ ou à 10 $, la gueule de bois est la même.
Que la maison dans laquelle nous vivons mesure 100 ou 1000 mètres carrés, la solitude est la même.
Vous réaliserez que votre véritable bonheur intérieur ne provient pas des choses matérielles de ce monde.
Que vous voyagez en première classe ou en classe économique, si l'avion tombe en panne, vous tombez avec lui...
Par conséquent, j'espère que vous vous rendez compte, quand vous avez des amis, des frères et sœurs, avec qui vous discutez, riez, parlez, chantez, parlez du nord-sud-est ou du ciel et la terre,... c'est le vrai bonheur !!
Un fait incontestable de la vie :
N'éduquez pas vos enfants à être riches. Éduquez-les pour être heureux. Quand ils grandiront, ils connaîtront la valeur des choses et non le prix.